Dans ce travail sur la lignée que Catherine Oberlé propose il est question de prendre conscience de cette fidélité parfois aliénante pour certaines et des introjections avec lesquelles chacune a grandi, afin de pouvoir s’en libérer.
En tant que femme et « fille de » nous sommes toutes d’une manière plus ou moins consciente attachées à notre famille et loyales à notre lignée de femmes : mère, grands-mères, arrière-grands-mères, ancêtres. Nous avons toutes été soumises à l’influence de ce qu’elles nous ont dit, transmis, donné à voir, ou même essayé de cacher.
Cette prise de conscience permettra à chacune de se réapproprier ses choix, en décidant de ce qu’elle garde et de ce qu’elle laisse ; mais aussi de ce qu’elle va pouvoir rendre à l’autre, parce que toxique pour elle.
Une fois que chacune a compris les schémas avec lesquels elle s’est construite, elle va pouvoir les lâcher, pour faire de la place, du vide, vide à partir duquel elle pourra reconstruire du nouveau et se réapproprier sa propre histoire. C’est un travail puissant, à la fois thérapeutique et initiatique grâce auquel les femmes peuvent se reconnecter à leur essence de femme en s’appuyant sur d’autres femmes, dans un lien de sororité.
« Je mets également un éclairage particulier sur la sexualité car il m’est apparu comme une évidence que c’est sur ce terrain là que les transmissions les plus puissantes et les plus restrictives ont lieu tels que : honte, culpabilité, tabou, traumas, douleur. C’est aussi le lieu par lequel l’homme essaie depuis la nuit des temps de soumettre la femme, par peur de sa puissance. Tout est inscrit à cet endroit, stigmatisé, figé.
Pour pouvoir se réapproprier son histoire et la réhabiliter, il est indispensable pour la femme de se réapproprier sa sexualité, de nettoyer les mémoires qui y sont rattachées afin de récupérer l’énergie de vie qui y est liée.
D’une manière plus large, se libérer de sa lignée de femmes signifie être capable de s’accueillir à cet endroit particulier, dans son être femme, dans ce que chacune a d’unique, de précieux, de vivant. C’est un travail de nettoyage que je propose, mais aussi de connexion avec la lignée de femmes et avec son énergie de vie. Nous y mettons en lumière ce qui empêche chacune de se réaliser pleinement dans sa vie de femme, et de s’épanouir dans sa sexualité.
Je les invite à travers différents types de pratiques à aller se connecter à la source, pour avoir les réponses qui les feront avancer et leur permettront d’aller vers cette guérison du féminin.
Durant les séminaires nous alternons temps de travail corporel et énergétique avec des temps de paroles et des méditations. Je m’appuie sur différentes pratiques issues du Tantra, de la Gestalt, sur les états d’expansion de conscience, sur les systèmes familiaux et constellations ainsi que sur les recherches actuelles en neurosciences pour permettre que ce travail puissant se fasse.
Qui est Catherine Oberlé : En tant que Gestalt-Thérapeute elle s’est spécialisée sur le travail corporel, la sexualité, et le transgénérationnel, qui sont pour elle les portes d’entrées vers une meilleure compréhension de soi, de nos fonctionnements, de ce qui nous agit et nous limite dans notre existence. Catherine Oberlé anime aussi des groupes de Tantra et de Cercles de Femmes
En pratique : Stage : La guérison du féminin – Se libérer de sa lignée
du 18 au 20 mai 2013
(week-end de Pentecôte)
Lieu : Le Théatre des champs – Boissy-les-Perches (Normandie) (A 1h de Paris)
Tarif stage : Pré-inscription jusqu’au 20 avril 290 euros (soirées comprises)
Plein tarif : 330 euros
Hébergement : 195 euros (repas compris)
Horaires : Du samedi 10h au lundi 17h
Inscriptions – Renseignements : info@feminisens.com
Tel : Bruxelles : 00.32.(0)484.19.12.45
Paris : 00.33.(0)6.09.38.12.28
Son site : www.feminisens.com
mariebxl
18 avril, 2013 à 11:22
» Un beau stage auquel j’ai eu la chance de participer récemment. Ce stage sur la lignée permet de mieux comprendre son héritage et ce qui nous enchaine, s’en libérer et se construire une identité propre, tout en maintenant le lien avec ses femmes que l’on porte en nous, dans notre cœur. Merci Catherine! »
cathymaillard
18 avril, 2013 à 11:26
Merci pour votre témoignage. Je le ferai suivre à Catherine Oberlé.
Je serais ravie de vous envoyer ma newsletter sur l’actu autour des cercles de femmes, des livres et des manifestations, si vous le souhaitez.
Pensées de sororité