Il y a des moments où vous avez beau avoir fait le plein d’énergie positive, maintenir son cap sur le bonheur se révèle parfois périlleux. On s’accroche, et l’on se rappelle que notre bonne humeur est sans doute la meilleure contribution à un monde meilleur. Une piste avec Marie France de Coqueraumont, psychothérapeute, spécialiste de l’enfant intérieur*, notre atout joie de vivre.
La bonne attitude : Prenez du recul et retrouvez un état d’esprit positif. D’abord, renouez avec vos sensations, « le meilleur moyen pour faire taire le mental et sortir de comportements automatiques, explique Marie-France de Coqueraumont. L’air au bord de vos narines, les battements de votre cœur, l’odeur du chocolat qui monte de la fenêtre du dessous…
Ensuite, changez votre regard sur le monde ! Loin de nous l’idée de vivre dans une bulle aseptisée, ou bonheur rime avec fermeture. Au contraire, la proposition est de s’ouvrir au monde et de porter son attention sur tout ce qui va bien… Embrasser toute la misère du monde est une mission impossible, essayez plutôt d’amplifier ce qui en fait la beauté, est sans doute un pas de plus de gagné sur la morosité ambiante. En clair : On arrête de prendre la vie au tragique, on en cultive la beauté.
Petit exercice : refaites votre journal de 20 h perso… Prenez un petit carnet et notez tout ce qui vous paraît contribuer à un monde meilleur. Une voisine qui s’occupe de la mamie de 80 ans du 2ème, une conversation entre un père et un fils, une action de quartier…
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Petite phrase de Thich Nah than à méditer : Toutes les choses merveilleuses que tu cherches : bonheur, paix et joie, tu peux les trouver en toi.