Renouer avec l’esprit de l’animal intérieur, c’est renouer avec une grande sagesse :
Ils s’acceptent totalement tels qu’ils sont, sans vouloir être autre chose. il ne viendrait pas à l’idée d’une souris de vouloir être un chameau ou un lion. Chacun a un rôle spécifique, chacun est aussi important que l’autre. L’animal nous confronte à l’acceptation de l’individualité de chacun. Et si avant
de libérer sa part sauvage, on commençait par se connecter… Qui êtes-vous vraiment au-delà de vos domestications » un des plus sur killer d’instinct » comme l’assure la grande psychanalyste Clarissa Pinkola Estès. Loup de steppes, tortue des Caraïbes…
Quoi qu’il en soit « le soi sauvage n’est ni docile ni vide… En acceptant de se laisser domestiquer, on laisse en jachère ses instincts, celui de jouer, de se lier, de faire face, de vagabonder et autres… » assène la psy. Qu’attendons-nous pour de nouveau courrir avec les loups !